Succès pour la soirée Blind Test de l’IMP René Thône de Marcinelle

Succès pour la soirée Blind Test de l’IMP René Thône de Marcinelle

Succès pour la soirée Blind Test de l’IMP René Thône de Marcinelle

Un Blind Test à succès pour une première édition à l’École fondamentale de l’Imp provincial de Marcinelle

Pour la première fois, l’école fondamentale de lImp Marcinelle a vibré au rythme de la musique avec son tout premier blind test organisé en février 2025, un événement convivial qui a rassemblé enseignants et membres de la communauté locale. Organisé par les professeurs d’éducation physique : Anne Herin, Yassmine Kadami, Erol Sen et Kévin Hennuy avec le soutien actif de la direction, ce moment festif a rapidement affiché complet, signe d’un engouement immédiat.

Un engouement au-delà des attentes

Dès l’annonce de l’événement, les inscriptions ont afflué à une vitesse record. « Nous ne nous attendions pas à un tel succès ! » confie Julie Spiniello, directrice de l’établissement. « Les places ont été réservées en un rien de temps, ce qui prouve l’intérêt et la dynamique incroyable autour de notre école. »

Un succès qui s’explique en grande partie par la mobilisation de l’ensemble des services de l’école : enseignants, personnel administratif et encadrants ont mis la main à la pâte pour que tout soit parfait. À cela s’est ajoutée la participation d’autres institutions provinciales de la région, venues soutenir cette initiative originale. Nous avons eu 18 équipes avec un nombre total de 140 participants.

Une organisation au cordeau

L’événement a été pensé et mis en place par les maîtres spéciaux, qui ont pu fédérer autour d’eux une équipe enthousiaste. « L’idée était de proposer un moment de partage, où les grands pouvaient tester leurs connaissances musicales dans une ambiance bon enfant. » explique Anne.

Le blind test a été animé par Laurent, DJ de la soirée, qui a su jongler entre les classiques intemporels et les tubes plus récents. « J’ai voulu créer des séries de chansons accessibles à tous, avec des morceaux qui parlent aux différentes générations. Tout en compliquant la tâche pour les équipes expérimentées, il a augmenté la difficulté, en proposant des listes thématiques « Voir l’enthousiasme du public était une vraie récompense ! » raconte-t-il.

Un événement à renouveler

Côté participants, l’ambiance était électrique. Rires, complicité et esprit de compétition bon enfant ont rythmé la soirée. Une partie de l’équipe, également impliqués dans l’organisation, ont apprécié cette opportunité de renforcer le lien avec le personnel de l’institution.

Face à un tel engouement, la question d’une deuxième édition ne se pose même plus. « On a déjà hâte de recommencer ! » conclut Julie Spiniello, avec le sourire.

Un pari réussi pour l’école Imp Marcinelle, qui prouve une fois de plus que l’apprentissage et la convivialité vont de pair !

DJ Laurent – le comptable de l’école – livre son ressenti :

« J’avais été prévenu que le niveau des participants serait élevé.  Il fallait les surprendre, et pour cela, j’ai voulu leur offrir un challenge inédit, différent des blind tests standards déjà entendus des dizaines de fois. La préparation a demandé beaucoup de temps et de travail, mais le résultat a été au rendez-vous : il y a eu beaucoup d’interactions, de chants… l’ambiance a démarré tout de suite et l’intérêt des joueurs s’est maintenu jusqu’au finish malgré l’heure avancée. C’était la première fois aussi que j’utilisais une application GSM pour recueillir les réponses et faciliter les corrections.  Malgré quelques soucis techniques – rien d’insurmontable – le système s’est avéré performant, mais il doit encore évoluer. Au final, je suis très content d’avoir fait cette animation en dehors des sentiers battus, et comme les retours ont été très positifs, je suis partant pour renouveler l’expérience ».

 

Retour en images sur la brocante de l’IMP de Marcinelle

Retour en images sur la brocante de l’IMP de Marcinelle

Retour en images sur la 20ème édition de la brocante de l’Ecole secondaire de l’IMP René Thône de Marcinelle.

Les 22 et 23 novembre derniers, pendant  2 jours, des chineurs se sont rendus au Hall Omnisport du site Provincial de Marcinelle pour faire des bonnes affaires. La brocante affichait complet avec 150 exposants. Les bénéfices de la brocante serviront à financer une partie du voyage au ski comme l’explique Mr. Mavrik, professeur d’éducation physique à l’école secondaire de l’IMP René Thône de Marcinelle.

 

Pour plus d’informations sur l’école secondaire cliquez ici

Pour revoir le programme de ces 2 journées cliquez ici

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Marcinelle. « La Légende d’Emilio ». Des élèves (et des profs) stars à l’école secondaire René Thône!

Marcinelle. « La Légende d’Emilio ». Des élèves (et des profs) stars à l’école secondaire René Thône!

On se souviendra longtemps de la fin de l’année scolaire 2023/2024 à l’IMP René Thône de Marcinelle. Transformé en véritable espace V.I.P. , le réfectoire a accueilli un événement hors du commun : un festival de cinéma, pour le grand bonheur des élèves et du personnel de l’école secondaire. 

« La Légende d’Emilio » : un court-métrage hommage à l’amitié et au Bois du Cazier.

Le 2 juillet dernier, les élèves et deux de leurs enseignants – Mme Lapière et M. Thomas – étaient très heureux de convier l’assemblée à découvrir le court-métrage qu’ils ont réalisé « 100% maison » cette année, grâce au soutien du Conseil supérieur de l’Education aux Médias.

Lauréats d’un appel à projets, 13 jeunes à besoins spécifiques de 15 à 21 ans ont scénarisé, tourné, sonorisé, joué ce film issu de leur imagination et accompagné par l’asbl liégeoise « Caméra-etc ».

Leurs enseignants les ont accompagnés dans ce projet pendant plusieurs mois et le tournage s’est déroulé du 28 mars au 25 juin. Il a eu lieu dans des lieux emblématiques de Marcinelle (Cité Parc, Bois du Cazier, Vestiboutique…).

La journée de projection, organisée par l’école, a permis aux élèves de l’école fondamentale, de l’école secondaire mais aussi aux autres services de l’IMP et aux partenaires du film de découvrir tout le travail réalisé par l’équipe!

D’autres courts-métrages réalisés les années précédentes étaient également projetés afin de montrer toute l’évolution de ces travaux de qualité.

Découvrez le reportage effectué lors du tournage et de la journée de projection, sur Youtube ou ci-dessous.

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Historique de la création du film à l’école provinciale d’enseignement spécialisé « René Thône »

Au niveau de la conception du film, l’idée des enseignants a été de laisser leurs élèves – dont certains sont des non-lecteurs et/ou n’écrivent pas du tout – construire le récit, en les accompagnant dans les étapes de création d’une histoire tout d’abord, et ensuite d’un film.

M. Thomas ayant suivi une formation complémentaire en audiovisuel à visée cinématographique, il a également pu compter sur Antoine Staquet, un ingénieur du son, venu donner une formation aux élèves. Camera-ETC a accompagné les étapes de l’écriture du scénario et du montage.

Il leur fallait bien entendu aussi du matériel :

« Grâce aux 2000€ du projet, nous avons pu acheter une caméra d’occasion, un micro, une perche, des câbles, batterie, carte SD,… Et bien sûr, le mythique clap, accessoire essentiel de tous les tournages » détaille-t-il.

Et le thème du film a directement découlé du CSEM :

« L’appel à projets dont nous avons été lauréats était avait pour thème : « un quartier à média-tisser ». Nous avons naturellement choisi des lieux de tournage très proches : les locaux de l’administration de l’IMP, la bibliothèque Hainaut Doc’ à Marcinelle, les hébergements du SRJ de l’autre côté de la rue ou encore la Vestiboutique à la Cité Parc, et même, le Bois du Cazier ».

Quant au processus créatif :

L’idée du scénario, venue des jeunes et légèrement allégée par « Caméra-Etc », a d’abord été mise en scène avec des playmobils. Nous voulions nous assurer que les élèves avaient bien compris toute l’histoire.

Ils ont ensuite donné des noms à tous les personnages, une identité propre avec un trait de caractère,… Ensuite, on leur a demandé qui voulait s’occuper du son ou de la caméra, qui voulait être acteur.

On a essayé de tenir compte de leur capacités d’expression et de leur volonté et on a désigné les 5 élèves qui allaient tenir les rôles principaux. Les autres étaient techniciens ou figurants. Tous sont passés au moins une fois devant la caméra.

Au total, le tournage a duré 3 semaines, à raison de journées complètes de 8h à 16h sauf les mercredis, juste en matinée.

Tous les élèves ont ainsi pris part à ce projet pédagogique et artistique tout à fait hors du commun.

De l’avis de Monsieur Thomas, ils en ont tiré de nombreux bénéfices :

« Ce projet a apporté aux élèves une confiance en eux, l’apprentissage d’un travail en équipe, le développement de l’expression verbale et non verbale. Ils ont aussi développé une image positive d’eux et de leurs compétences.

Bien sûr, ils ont aussi énormément appris sur la structure narrative, le schéma de l’histoire, ce qui n’est pas du tout évident pour eux à la base.

Et d’un point de vue plus technique, ce projet a permis de travailler leur éducation aux médias : les importances de l’ambiance sonore, les scènes découpées, les trucages,… Nous avons pu faire le lien avec les vidéos qu’ils voient sur internet et leur apprendre que tout ce qu’ils voient n’est pas toujours la réalité.

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Marcinelle. Un carnaval en fanfare à l’institut médico-pédagogique de Marcinelle

Marcinelle. Un carnaval en fanfare à l’institut médico-pédagogique de Marcinelle

Quoi de plus divertissant que de fêter le carnaval et de plus, avant des congés scolaires bien mérités ?

Paysans et gilles, tambours et batteries,… ont fait vibrer le site provincial de Marcinelle ce  23 février 2024, à l’occasion du 1er carnaval de l’institution.

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Elèves de l’école fondamentale et de l’école secondaire, usagers du service d’accueil de jour et résidents du service résidentiel pour adultes ont monté un cortège carnavalesque digne ce nom. Quelle magnifique fête !

Les caméras de la Province de Hainaut étaient là pour immortaliser ce bel événement qui fut une réussite.

(Si la vidéo ne s’affiche pas, visionnez-la sur Youtube)

Charleroi. Prix de l’inclusion pour la Carolo Team Marcinelle de l’IMP René Thône (handifoot)

Charleroi. Prix de l’inclusion pour la Carolo Team Marcinelle de l’IMP René Thône (handifoot)

Mérite sportif 2023 à Charleroi. Les jeunes du SRJ provincial de l’IMP René Thône ont remporté le Prix de l’inclusion.

Pour tout leur parcours sportif de cette année, la Carolo Team a été récompensée lors de la remise des mérites sportifs 2023 à Charleroi.

L’occasion de passer faire un reportage lors du tournoi de décembre qui opposait le SRJ à d’autres équipes venant aussi d’instituts médico-pédagogiques dont deux provinciaux :

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Marcinelle. Repas gratuits et sains, projets de recyclage, potagers des élèves,…à l’école fondamentale de l’IMP René Thône

Marcinelle. Repas gratuits et sains, projets de recyclage, potagers des élèves,…à l’école fondamentale de l’IMP René Thône

Pour la seconde année déjà, les élèves de l’école fondamentale provinciale René Thône de Marcinelle bénéficient de repas chauds et gratuits tous les midis… Mais ce n’est pas la seule bonne nouvelle car l’école s’est lancée sur tous les fronts pour sensibiliser les enfants à la consommation responsable.

Ayant à nouveau remporté l’appel à projets proposé par la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Direction est ravie de pouvoir offrir cette opportunité aux élèves  en  2023/2024 :

« L’appel à projets vise les repas gratuits mais il faut aussi qu’ils soient d’une haute qualité nutritionnelle, avec des menus basés sur des aliments durables  » explique Julie Spiniello, Directrice de l’école. « L’idée est de proposer aux 130 enfants de profiter de repas sains, équilibrés et de qualité, quelles que soient les possibilités financières des proches ».

C’est une diététicienne qui élabore les menus, de manière à varier les propositions dans l’assiette, chaque jour.

Et ces repas sont préparés localement, à la cantine de l’école, avec des produits de saison.

Cette alimentation durable consiste par exemple à :

 

  • Intégrer dans le menu plus de fruits locaux, belges et européens, de saison.
  • Intégrer dans le menu plus de produits issus de l’agriculture biologique (légumes, fruits, pâtes, farine, œufs, viande, produits laitiers, etc.).
  • Communiquer sur l’origine des produits et sur les producteurs qui fournissent la cuisine.
  • Sensibiliser les élèves à la saisonnalité à travers des activités adaptées (cuisine en classe).
  • Renoncer aux espèces menacées de poissons et privilégier les labels durables (MSC, ASC…).
  • Sensibiliser les élèves aux liens entre alimentation et environnement.
  • Choisir des circuits courts, acheter en direct chez le producteur et/ou via des coopératives de producteurs, choisir des produits disposant d’un label (Label Bio Garantie, CERTISYS, …ou d’une démarche équitable locale : Prix juste, ………. 

Et bien que cette initiative soit déjà extrêmement positive et profitable pour les élèves, ce projet éco-responsable ne s’arrête pas là !

« En parallèle, l’école participe aussi au Challenge Good Planet » explique Céline Lobin « Toute l’année, les enfants participent à des animations autour de l’écologie, du développement durable ou de la consommation responsable ». Madame Justine, Madame Morgane, Madame Lorraine et Madame Leïla sont également des enseignantes actives dans ce projet.

Good Planet propose en effet de manger local mais aussi de trier ses déchets, de consommer l’énergie de façon responsable ou encore de préserver l’eau.

« Par exemple, nous sensibilisons les élèves à éviter un maximum les déchets et s’il y en a, à les trier. La gourde est obligatoire, ainsi que la boite à collations » explique Mme Lobin.  

« D’autre part, nous avons décroché le Prix Propreté de la Ville de Charleroi en 2022 et grâce à cela, nous avons installé des poubelles organiques dans chaque classe. Lors des opérations de tri avec les enfants, nous valorisons donc les déchets organiques, y compris au réfectoire ».

Le projet de l’école est de mettre à disposition des élèves 4 bacs à compost. La récupération des restes des repas et des déchets organiques en classe servira à les alimenter. 

À quoi ce compost servira-t-il ? 

« Le compost viendra enrichir le sol des 13 carrés potagers installés dans le jardin de l’école ; il y en a 1 par classe » poursuit Céline Lobin « Chaque carré potager appartient à une classe et les élèves y cultivent ce qu’ils veulent. Leur récolte leur sert ensuite en classe où ils réalisent des recettes avec leurs enseignants ».  

Des repas gratuits dont les restes servent à enrichir d’autres repas …

Voilà un enchaînement on ne peut plus sensé et cohérent qui en plus de sensibiliser les élèves à l’écologie, leur apporte aussi le bénéfice d’une alimentation bonne pour leur santé et la planète !

Prochaine étape… La création du jardin sensoriel. Mais ça c’est encore une autre histoire !