Rejoindre le site provincial de Marcinelle pendant « Ensemble avec les Personnes extraordinaires »

Rejoindre le site provincial de Marcinelle pendant « Ensemble avec les Personnes extraordinaires »

Notre grand événement provincial de sensibilisation au handicap, c’est ces 6 et 7 mai.

Voici une INFO MOBILITE pour les trajets vers la RUE DE LA BRUYERE à MARCINELLE.

Le site provincial de Marcinelle se pare de ses plus beaux atours avec cette 14e édition de « Ensemble avec les personnes extraordinaires ».

Ne manquez pas le programme consultable sur www.personnesextraordinaires.be.

Nous attirons votre attention sur les différentes possibilités d’accès au site provincial de Marcinelle.

NOS CONSEILS

Pour rejoindre l’événement : Rue de la Bruyère 157 – 6001 Marcinelle

EN VOITURE, TAXI ET MOTO

Suivez le FLÉCHAGE directionnel vers le Dépose-MINUTE et les PARKINGS.

Par décision de Police, la Rue de la Bruyère sera interdite au stationnement « sauvage ».

EN TRANSPORT EN COMMUN

Prenez le bus. L’un des arrêts de la ligne 3 s’arrête juste devant le site de l’événement.  Cliquez ici pour accéder aux horaires de la ligne

EN VELO

Enfourchez votre vélo. Et profitez-en pour découvrir la région verdoyante du Sud de Charleroi ! 

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Handicap et relation à l’autre : une réflexion sur grand écran

Handicap et relation à l’autre : une réflexion sur grand écran

Comment s’inscrire dans une relation amoureuse en étant porteur de handicap ?

Quel chemin emprunter pour favoriser l’intégration scolaire des jeunes avec des besoins spécifiques ?

Comment conserver une belle relation de couple face au vieillissement et aux troubles neurologiques qui peuvent y être associés ?…

La diversité des êtres et de leurs états de santé amènent de multiples questions liées au bien-être de chacun et au respect de tous.

Un ciné-débat abordera quelques-unes de ces questions le 29 avril prochain, de 13h30 à 15h30.

Organisé dans l’Auditorium du Charleroi Espace Meeting Européen (CEME Dampremy), l’événement est co-organisé par la DGAS et d’autres services de la Province de Hainaut et l’asbl bruxelloise Extra & Ordinary People (EOP) dans le cadre de « Ensemble avec les Personnes extraordinaires ». Succédant à la classique formule de colloque qui était organisée auparavant lors de l’événement, ce ciné-débat se tiendra donc en amont des journées (6 et 7 mai).

« Notre thème cette année est « Toi et Moi dans la diversité » » explique Sébastien Corazza, coordinateur de l’événement.

« Et pour introduire cette thématique, nous allons projeter cinq courts-métrages internationaux. Chacun sera entrecoupé d’interventions de professionnels spécialistes des thèmes abordés, afin de susciter la réflexion du public sur le thème de la relation à l’autre quand on est en situation de handicap ».

Les films ont été proposés par l’asbl EOP qui organise l’Extraordinary Film Festival depuis 6 ans.

« Nous avons collaboré ensemble en septembre dernier afin d’organiser des décentralisations du festival à Charleroi », se souvient Sébastien. « Cette fois, c’est leur équipe qui nous soutient dans notre organisation, en tant que partenaire ».

Les participants pourront soit faire partie du public, soit vivre cet événement en se connectant à distance « Nous allons aussi diffuser l’événement en streaming, pour qu’un maximum de personnes puissent y assister ».

La participation est tout à fait gratuite mais les inscriptions sont requises grâce au formulaire sur le site web de l’événement : https://www.personnesextraordinaires.be/cine-debat29avril.

Le ciné-débat sera adapté aux 12 ans et plus et introduit par Eric Massin, Député provincial en charge de l’Action sociale, et animé par Philippe Molderez, de l’asbl EOP.

Film: My Shoes

Erquelinnes : journée du vivre ensemble, le service d’aide précoce y était!

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Début novembre 2021,

le service d’aide précoce de Lobbes a participé à une journée de sensibilisation au harcèlement. 

 

Avec d’autres opérateurs communaux, associatifs, les professionnels de la petite enfance et de la jeunesse pouvaient profiter d’idées d’animations et d’actions pour lutter contre ce triste phénomène.

Reportage sur l’activité avec notamment une interview de notre collègue Isabelle Vraie.

La sensibilisation des plus jeunes pour bien vivre ensemble à Erquelinnes

La sensibilisation des plus jeunes pour bien vivre ensemble à Erquelinnes

Pour favoriser les relations sociales, rien de tel que des espaces de rencontre et d’échanges… en vrai.

Le 9 novembre, le Service provincial d’Aide Précoce de Lobbes (SAP) participera ainsi activement à une première journée du genre organisée par les échevins de l’Enseignement et de la Cohésion Sociale la Commune d’Erquelinnes et destinée aux enfants des écoles primaires locales, mais aussi, aux adultes.

Les plus jeunes seront en effet sensibilisés de manière ludique sur un thème commun : apprendre à bien vivre ensemble. Mais aussi, à prévenir le harcèlement. Dans le cadre de sa mission de sensibilisation à la différence, l’équipe du Service d’Aide Précoce a été sollicitée par le planning familial et le service communal du Plan de Cohésion sociale afin de rejoindre ce projet.

« Deux de nos collègues, Isabelle Vraie et Charlotte Nerinckx, membres du personnel psycho-éducatif, proposeront des animations aux élèves des écoles primaires locales » explique Ludivine Tassenoy, la coordinatrice.  « Elles répondront aussi aux questions des visiteurs sur les services que nous offrons, plus tard dans la journée ».

Dès 15h, l’événement sera accessible à tous les citoyens : parents, professionnels de l’enfance, secteur psycho-médico-social, pourront en apprendre plus sur ce qui est proposé dans l’entité, afin d’y favoriser le cadre de vie des enfants et de lutter contre l’intolérance.

Equipes locales des CPMS, Aide en Milieu Ouvert, Bibliothèque communale, Promotion Santé à l’Ecole (PSE), Accueil Temps Libre ou encore, du Service provincial d’Aide Précoce seront à disposition pour présenter leurs actions dont voici déjà quelques détails. « Nous accompagnons des enfants de la naissance à 8 ans en situation de handicap et leur famille » détaille Ludivine Tassenoy. « Nous apportons une aide sociale, psychologique et éducative afin de faciliter la vie des parents au quotidien et aidons à mettre en place un réseau d’intervenants autour de l’enfant, afin de favoriser son inclusion dans tous les milieux de vie, (milieu d’accueil, école ou loisirs) ».

Et à cet accompagnement se joint la sensibilisation de tous les copains et personnes fréquentant les enfants « différents ». « Malheureusement, parce qu’ils ont des caractéristiques physiques particulières, des troubles du langage ou éprouvent des besoins particuliers en raison de leurs déficiences, ils peuvent être victimes de stigmatisation » explique Isabelle Vraie. « Et cela peut se transformer en harcèlement lorsqu’ils grandissent…L’un de nos objectifs est d’empêcher ce phénomène, en faisant notamment vivre aux plus jeunes les situations de handicap, dès la maternelle ». Ce qui favorise leur empathie et la compréhension de ces difficultés.

Concrètement, les enfants sont donc attendus le 9 novembre pour « jouer » à devenir aveugles, dyslexiques, sourds ou dyspraxiques, le temps d’une animation avec Isabelle et Charlotte. « Il y a les déficiences visibles mais aussi non-visibles. Et on leur en parle en leur contant des histoires, en les mettant en situation avec des casques anti-bruit, les yeux bandés ; avec des petits jeux sur la ressemblance et la différence, et sur le fait qu’on est justement tous différents ! » explique Charlotte Nerinckx « On cherche des solutions tous ensemble et on joue des petites saynètes. Et toute la richesse de ce travail est qu’il permet également de faire tomber les barrières, et si possible, les éventuelles craintes des enseignants qui sont dans l’interrogation par rapport aux difficultés de certains élèves ».

Pour en savoir plus sur le Service d’Aide Précoce provincial de Lobbes – qui se déplace par ailleurs dans toute la région de la Thudinie –  rendez-vous le 9/11 au hall sportif communal d’Erquelinnes ou contactez l’équipe au 071 59 37 75 et sur sap.lobbes@hainaut.be.

Les infos sur l’événement : www.erquelinnes.be

Le SAPASH à la matinée « Trouble du spectre autistique : ensemble, tout en nuance »

Le SAPASH à la matinée « Trouble du spectre autistique : ensemble, tout en nuance »

Une pièce de théâtre : Lyre

Educateurs spécialisés maniant aussi bien l’art de la comédie, de la magie, de l’animation sportive, de l’expression corporelle, du folklore et de l’imaginaire que des arts plastiques, les membres de l’équipe du Sapash (service d’actions provinciale d’animation et de sensibilisation au handicap) seront présents le 18 octobre 2021 lors d’une matinée de formation organisée par le Pôle hainuyer sur les troubles autistiques.

Les spécialités du service SAPASH : permettre aux personnes valides d’approcher le monde du handicap de la manière la plus vivante possible; privilégier les mises en situation ainsi que les rencontres avec les personnes en situation de handicap; favoriser la réflexion sur l’inclusion; promouvoir la tolérance vis-à-vis des différences; favoriser la compréhension des déficiences sensorielles, intellectuelles, physiques, des troubles du comportement, des difficultés d’apprentissage,…

Sur les planches du conservatoire de Tournai, Ludovic Potvin et Corrada Colantonio présenteront  cette fois leur pièce de théâtre interactive : « Lyre ». Une manière originale d’approcher son regard du monde des troubles autistiques…

Synopsis

Tout droit venu de la planète UGTO, le magicien Georges Allain arrive sur terre avec des sortilèges plein les poches. 

Il est à la recherche d’un apprenti pour transmettre son savoir, ses connaissances, son pouvoir et reprendre le flambeau de son poste.

Une réponse reste alors en suspens dans ce spectacle interactif.

Qui sera l’heureux élu pour cette aventure burlesque et improvisée ? Est-ce vous ? 

Le spectacle sera suivi d’une intervention de Magali Descamps (Fondation SUSA), Directrice du Service d’Accompagnement pour Adultes, du SAJA « Le Relais » et du SRNA « Condorcet ».

Participation gratuite.

Réservation obligatoire sur le site web du pôle hainuyer.

Lien direct vers l’événement 

Evénement le 18 octobre à Tournai : Ensemble tout en nuance
Dans les Yeux de …….. Fabrice Ligny

Dans les Yeux de …….. Fabrice Ligny

La rubrique « Dans les Yeux de…. » est l’occasion de mettre en avant l’un des membres du personnel de nos services, écoles et organismes.

Fabrice Ligny est l’un des 2500 membres du personnel provincial aux multiples passions. Il a développé un projet qu’il propose à tous ses collègues enseignants. Interview.

Pouvez-vous vous présenter en quelques lignes?

Je suis enseignant à l’école secondaire de l’Institut Médico-Pédagogique de Marcinelle, depuis plus de 10 ans.

Bachelier en sciences humaines, j’enseigne la philosophie et la citoyenneté. Egalement musicien, je suis programmateur pour les soirées de musiques électroniques au Rockerill (Marchienne-au-Pont).

En 2016, j’ai fondé un collectif de professeurs des religions, de morale et de philosophie et de citoyenneté.

Pouvez-vous nous parler de votre carrière en tant qu’enseignant?

Elle a débuté en 1998 dans l’enseignement spécialisé.

J’ai tout de suite adhéré aux challenges que ce type d’enseignement proposait.

Le côté humain, social, affectif ajouté aux apprentissages tant disciplinaires que transversaux sont tout à fait en adéquation avec ma philosophie de vie.

Ma profession est passionnante, j’ai la chance de travailler dans une école où les arts et les projets multidisciplinaires sont les bienvenus.

C’est de cette façon que j’aime travailler : nous essayons d’appuyer les apprentissages sur des activités ludiques et motivantes pour les élèves.

Et quelques mots pour votre passion pour la musique ?

En 1998, je menais deux carrières de front ; musicien et enseignant.

J’ai mis ma carrière d’enseignant entre parenthèses pour aller au bout de mes rêves de musicien.

Ce que j’ai fait en voyageant partout dans le monde. Finalement, j’ai atterri en 2009 pour vivre pleinement ma vie de famille (j’ai 3 filles). J’ai donc repris le chemin de l’école avec les bagages bien remplis d’expériences et de motivation.

Désormais, vous vous battez pour une cause qui vous tient à cœur ?

Tout à fait. J’ai toujours été attiré par les chiens, je ne sais pas pourquoi, et il se fait qu’ils me l’ont toujours bien rendu. J’ai ainsi été bénévole pendant plus d’un an à la S.P.A de Charleroi avec ma fille.

Je promenais les chiens enfermés en cage toute la semaine et ai tout de suite été attiré par ces chiens dits agressifs, « méchants »… ou plutôt incompris et stressés.

Je me suis posé beaucoup de questions sur la problématique des abandons. C’est devenu une lubie chez moi. J’ai observé et écouté les gens qui venaient abandonner leurs animaux, fait beaucoup de recherches sérieuses pour comprendre ce phénomène. Il en est ressorti que l’éducation du public pouvait servir de levier pour faire diminuer ces abandons.

Si je voulais sauver plus de chiens, plus d’animaux, il fallait passer par l’éducation des jeunes… Et au sein de notre collectif d’enseignants, j’ai lancé le projet « Refuges et tableaux noirs ».

Pouvez-vous en dire plus sur ce projet ?

Plus de 30% des abandons résultent de problèmes comportementaux des chiens, ceux-ci étant issus d’une méconnaissance de leurs besoins fondamentaux.

Combien de personnes savent que travailler l’intelligence d’un chien est essentiel à son équilibre ?

Combien de personnes savent qu’un chien à besoin de mastiquer quotidiennement pour se sentir bien, apaisé et fatigué ? Qu’il doit se dépenser ?

Ne pas le savoir, c’est aller au devant de problèmes comme la destruction (du canapé, des pieds de table), l’hyperactivité voire de l’agressivité, les aboiements, l’anxiété, etc.

Ce projet est destiné à corriger ce manque d’information, en éduquant et en informant les jeunes. Il s’est amplifié pour aborder la maltraitance animale, la multiplication des chats errants, les élevages intensifs peu respectueux de la vie des animaux concernés, etc.

Quels sont les bénéfices attendus pour les élèves?

En 2021, à l’heure où l’humanité tend enfin à reconnaitre que les animaux ont des sentiments et une conscience d’eux-mêmes, on ne peut ignorer cette problématique, cette philosophie, dans le cursus d’un élève.

Ils doivent ressortir de ces activités avec l’idée que l’animal est un être vivant avec ses humeurs, ses joies et ses peurs. Que la vie d’un animal est précieuse, ils cohabitent avec nous, et on se doit de les comprendre.

Les jeunes comprendront ainsi mieux l’impact de leurs actions sur la nature, sur la biodiversité et sur leurs propres animaux. Ils apprendront également que c’est dans l’action qu’on fait avancer les choses, que l’on peut réellement aider.

On organise donc entre autres une collecte de dons car « si je donne un objet de mastication à une association, je sais qu’un chien sera apaisé pendant quelques heures grâce à moi ; si je donne de la nourriture, je lui assure ses ressources pendant quelques jours etc».

Quel plaisir pour moi de voir des élèves revenir en classe avec leurs observations et récits d’activités proposées à leurs animaux après un cours sur le sujet !

Et souhaités pour les animaux?

Là, on joue sur deux tableaux (noirs ?).

Un bénéfice purement caritatif car la récolte de dons va aider les refuges et associations dans leur combat quotidien.

Et le second volet se joue à long terme : les bénéfices des apprentissages des élèves devraient, s’ils sont répétés chaque année, amener à changer l’approche et la compréhension des animaux de compagnie, et plus largement du bien-être des animaux domestiques, d’élevage et sauvages.

Ce sont d’ailleurs des éléments qui devraient avoir une part belle dans les programmes scolaires.

Pour participer au projet « Refuges et Tableaux noirs » avec vos élèves :