Le Service Provincial de Santé mentale de Courcelles au Salon du Bien-être 2025

Le Service Provincial de Santé mentale de Courcelles au Salon du Bien-être 2025

Le Service Provincial de Santé mentale de Courcelles au Salon du Bien-être 2025

Le Service provincial de Santé mentale de Courcelles sera présent avec son équipe au Salon du Bien-être qui aura lieu à Courcelles le 15 novembre 2025.

Vous voulez en savoir plus sur ce service pluridisciplinaire qui veille au mieux-être psychologique des citoyens ?

Rendez-vous de 10h à 18h à la Salle de Miaucourt à la Rue Paul Pastur 115.

Retrouvez le programme de cette journée sur les canaux de la Ville de Courcelles.

L’entrée est libre et gratuite.

Pour contacter le SPSM de Courcelles : visiter la page internet de présentation du service.

 

Sans-abrisme et violence de genre : sortir les femmes de l’invisibilité

Sans-abrisme et violence de genre : sortir les femmes de l’invisibilité

Sans-abrisme et violence de genre : sortir les femmes de l’invisibilité

Un SDF sur 3 est une femme. On les voit peu parce qu’elles développent des stratégies spécifiques de protection, tant leur situation est préoccupante par rapport à celle des hommes sans-abri. Le service provincial VEGHA (Violence, Egalité de Genres en Hainaut), organise tous les quadrimestres des plates-formes thématiques à destination des opérateurs* de terrain, des séances d’information et de partage d’expériences qui se déroulent à Tournai, Mons et Charleroi. Et, en ce début d’automne, la thématique était un peu particulière : les liens entre le sans-abrisme et les violences faites aux femmes.

« En 2004, le sans-abrisme féminin était considéré comme marginal, car les femmes étaient « hébergées » – ce qui invisibilisait leur situation » explique Jérémy Wilmot du Relais social de Charleroi.

Les sans-abris, ce ne sont pas que ceux qui vivent dans la rue. Ce sont aussi des personnes qui vivent des situations d’hébergement précaires : en hébergement d’urgence, en foyer d’hébergement, chez des tiers (amis ou membres de la famille), etc. Le phénomène est donc plus vaste que ce que l’on en voit quotidiennement.

Et quand il s’agit de femmes, c’est encore plus compliqué. Ainsi, celles qui se retrouvent « à la rue » le deviennent suite à des violences conjugales, familiales et des violences sexuelles (36%), des pertes d’emploi ou une précarité économique (27%) qui se conjuguent souvent. Et quand elles sont sans-abri, elles sont souvent victimes d’autres violences, ce qui les amène à développer des stratégies de survie et une invisibilité forcée.

« Les femmes sans-abri cherchent souvent à se rendre invisibles pour se protéger » explique Véronique Barbieri du Relais social de La Louvière : « Elles préfèrent souvent dormir chez des amis, ou des connaissances plutôt que de passer la nuit dans un centre d’hébergement mixte. Pour certaines, la prostitution peut sembler le seul moyen d’obtenir de l’argent pour un repas ou une nuit d’hébergement.

Parfois, elles évitent d’avoir l’apparence « typique » d’une personne sans-abri pour éviter le danger. » Elle précise d’autre risques les touchant particulièrement : « L’accès aux produits d’hygiène de base (serviettes hygiéniques, etc.) est un défi constant. Les grossesses et les maternités à la rue posent également des risques majeurs pour la mère et l’enfant. (Par ailleurs) les traumatismes subis, l’isolement et la précarité entraînent une dégradation de la santé mentale et le développement de troubles psychologiques et mentaux qui peuvent être liés à des addictions à l’alcool ou aux drogues. »

« La violence reste en filigrane, même en maisons d’accueil, car elles sont souvent mixtes » commente Jérémy Wilmot : « C’est ce qui explique en partie toutes ces stratégies qu’elles mettent en place. »

Au 26, une maison d’accueil, d’hébergement et d’accompagnement des femmes et de leurs enfants de Charleroi, on est en pleine réflexion sur la problématique. Pour Lavignie Lovo : « Il y a des personnes qui deviennent sans-abri suite à des violences conjugales. Ce sont parfois des personnes qui étaient propriétaires et qui se retrouvent sans rien. »
Pour lutter contre l’insécurité, poursuit-elle, « il est temps qu’il y ait des lieux distincts » qui seraient plus sécurisants, comme le souligne l’étude « La rue et le genre… » menée par l’association Action vivre ensemble – ce qui ne signifie pas supprimer tous les lieux d’activités mixtes.

On le voit, le sujet est complexe. C’est pourquoi les opérateurs plaident pour un accompagnement spécifique qui prenne en compte le parcours de vie de ces femmes, notamment les traumatismes liés aux violences subies, ce qui nécessite de travailler en réseau avec d’autres opérateurs ; pour un renforcement de l’accès aux soins, notamment gynécologiques ; et pour sensibiliser le public et les professionnels aux réalités pour mieux identifier et aider ces femmes.

Ces réunions de plate-formes permettent ainsi d’aborder ce type de thématiques et de travailler ensemble à la conception de solutions collectives qui pourraient s’intégrer à toutes les réalités professionnelles de ces différents acteurs de réseau.

* Environ 70 participants se sont réunis durant ces séances de travail qui avaient lieu à Charleroi, Mons et Tournai : des travailleurs issus de différents organismes tels que les CPAS, Centres Psycho-Médico-Sociaux, Présence et Action Culturelle, plannings familiaux, services d’Aide à la Jeunesse, services VIF (violences intrafamiliales), maisons d’accueil, services d’aide aux victimes, maisons médicales, services d’assistance policière aux victimes, Plan de Cohésion Sociale, Centre de Prévention des Violences Sexuelles, service d’aide aux justiciables, Parquet de Justice, Refuges,…

Soirée années 80/90 au SRJ le Phénix

Soirée années 80/90 au SRJ le Phénix

Le SRJ Le Phénix de l’IMP René Thône de Marchienne-au-Pont vous invite à une soirée spéciale placée sous le signe de la nostalgie et de la bonne humeur. Rendez-vous le vendredi 7 novembre 2025 à partir de 19h pour une soirée années 80/90.

Venez revivre les plus grands tubes de ces deux décennies légendaires et profiter d’une ambiance festive et décontractée. Que vous soyez fan de disco, de pop ou de rock, la piste de danse vous attend.

L’entrée est fixée à 2€, au profit des jeunes résidents du SRJ Le Phénix.
L’événement se tiendra dans la salle du réfectoire de l’IMP René Thône à Marchienne-au-Pont.

Une belle occasion de s’amuser tout en soutenant une bonne cause.

 

Souper aux moules à l’IMP René Thône de Marcinelle

Souper aux moules à l’IMP René Thône de Marcinelle

Souper aux moules à l’IMP René Thône de Marcinelle

L’Institut Médico-Pédagogique René Thône de Marcinelle a le plaisir de vous inviter à son traditionnel souper aux moules, suivi d’une soirée dansante, le vendredi 14 novembre 2025 à partir de 19h.

Une ambiance conviviale et festive vous attend autour d’un bon repas partagé en toute simplicité. Deux formules sont proposées :
– Moules/frites avec apéritif : 20€ pour les adultes et 12€ pour les enfants
– Boulettes sauce tomate/frites : 15€ pour les adultes et 12€ pour les enfants

Les réservations sont ouvertes jusqu’au 5 novembre. Il vous suffit de contacter le 071 44 64 64 et de remettre le talon de réservation disponible sur l’affiche.

Venez nombreux pour partager ce moment chaleureux et soutenir l’école dans une atmosphère familiale et joyeuse.

Tournai. Emploi d’éducateur spécialisé (H/F/X)

Tournai. Emploi d’éducateur spécialisé (H/F/X)

Une chambre d'enfant aux Tourelles à Tournai

Tournai. Emploi d’éducateur spécialisé (H/F/X)

Vous êtes éducateur.rice spécialisé.e et disponible 19h par semaine ?

Vous avez l’esprit d’équipe et souhaitez travailler avec de jeunes enfants ?

Vous souhaitez travailler dans la région de Tournai ?

 

La Province de Hainaut recherche un.e collaborateur.rice pour renforcer les équipes du Service Résidentiel Général « les Tourelles » situé à Tournai.

Vente de madeleines au SRJ l’Oasis

Vente de madeleines au SRJ l’Oasis

Vente de madeleines au SRJ l’Oasis

Les Lionceaux et les Pandas du SRJ l’Oasis lancent une savoureuse action solidaire au profit des enfants : une vente de madeleines.

Chacun peut soutenir cette belle initiative gourmande en passant commande auprès des Lionceaux et des Pandas (appartements 5 et 6) ou par téléphone au 0478/18.66.65, au plus tard pour le mercredi 15 octobre 2025.

Le prix est fixé à 5 euros pour 15 madeleines. Les bénéfices permettront de financer des activités et projets destinés aux jeunes du service.

CPESM : +32 (0)65/40 88 50
Rue du Temple 2 – 7011 Ghlin