Emploi à Courcelles. Psychologue (H/F/X)

Emploi à Courcelles. Psychologue (H/F/X)

Emploi à Courcelles. Psychologue (H/F/X)

Vous disposez d’un Master en psychologie clinique ? 

Vous souhaitez travailler dans la région de Courcelles, en service de santé mentale ?

Vous êtes dynamique,  avez un bel esprit d’équipe et êtes disponible à temps partiel, 12h par semaine ?

La Province de Hainaut recherche un.e collaborateur.rice pour renforcer l’équipe pluridisciplinaire du Service de Santé mentale de Courcelles.

Découvrez l’offre d’emploi dans son intégralité sur le site web de la Province de Hainaut, le pouvoir organisateur de ce service.

Si ce job est fait pour vous, postulez en complétant le formulaire et en y joignant vos documents jusqu’au 13 novembre 2025.

Retour en images sur le stage d’automne

Retour en images sur le stage d’automne

Retour en images sur le stage d’automne

Cette semaine, le SAPASH – Service d’Action Provinciale d’Animations et de Sensibilisation au Handicap – a organisé son traditionnel stage d’automne, placé cette année sous le thème des méchants de Disney.

Pendant une semaine, enfants en situation de handicap et enfants dits “ordinaires” ont partagé activités, jeux et moments de découverte dans un esprit d’inclusion et d’entraide. Le principe du stage repose sur la mixité des publics, avec la formation de binômes entre “loulous extraordinaires” et “loulous ordinaires”, favorisant l’échange et la solidarité naturelle entre les enfants.

Au programme : bricolages, défis sportifs, parcours d’adresse, jeux de cohésion et de coopération, tous pensés pour être accessibles à chacun, quel que soit le handicap. Chaque activité s’inspirait d’un méchant Disney emblématique : l’ombre de Peter Pan pour la discrétion et le travail d’équipe, d’autres jeux plus physiques pour le dépassement de soi, ou encore des moments plus calmes autour du bricolage.

Au-delà du jeu, ce stage est un véritable moment de partage et de rencontre, où les enfants apprennent à se soutenir, à s’adapter aux différences de chacun et à créer des amitiés inattendues. Même durant les repas, les tables mélangées favorisent les échanges et les rires partagés.

Retrouvez les images de cette belle semaine en vidéo !

Merci d'accepter les cookies suivants statistiques, marketing pour voir cette vidéo.
Vente d’Arancini au profit des jeunes du SRJ L’Oasis

Vente d’Arancini au profit des jeunes du SRJ L’Oasis

Vente d’Arancini au profit des jeunes du SRJ L’Oasis

Le SRJ L’Oasis de Ghlin organise une vente d’arancini au profit des résidents des unités Les Aras et Les Harfangs.

Prise de commandes : du 10 au 19 novembre 2025
Préparation et distribution : à partir du 20 novembre 2025

Les commandes peuvent être passées :

  • En interne, auprès des personnes de référence, Mme Horlait et M. Martorana ;

  • Pour le public externe, les ventes se dérouleront en dehors du SRJ, également via Mme Horlait et M. Martorana.

Tarifs :

  • 1 arancini : 4 €

  • Lot de 4 arancini : 13 €
    (Un total de 150 arancini sera disponible pour cette vente.)

Objectif de la vente
Les bénéfices permettront de financer un séjour durant les vacances scolaires ainsi que l’achat de matériel pour des activités ludiques, sportives et créatives.

Contact pour les commandes externes
Mme Horlait et M. Martorana
Tél. : 065/40.88.50 

Le Service Provincial de Santé mentale de Courcelles au Salon du Bien-être 2025

Le Service Provincial de Santé mentale de Courcelles au Salon du Bien-être 2025

Le Service Provincial de Santé mentale de Courcelles au Salon du Bien-être 2025

Vous cherchez un centre thérapeutique qui propose un accompagnement psychologique et psychosocial ?

Vous souhaitez en savoir plus sur les missions des services de santé mentale ?

Le Service provincial de Santé mentale de Courcelles sera présent avec son équipe au Salon du Bien-être qui aura lieu à Courcelles le 15 novembre 2025.

Ce service pluridisciplinaire qui veille au mieux-être psychologique des citoyens est organisé par la Province de Hainaut.

Pour rejoindre le Salon du Bien-être :

Rendez-vous de 10h à 18h à la Salle de Miaucourt à la Rue Paul Pastur 115.

Retrouvez le programme de cette journée sur les canaux de la Ville de Courcelles.

L’entrée est libre et gratuite. 

Pour contacter le SPSM de Courcelles : visiter la page internet de présentation du service.

 

Sans-abrisme et violence de genre : sortir les femmes de l’invisibilité

Sans-abrisme et violence de genre : sortir les femmes de l’invisibilité

Sans-abrisme et violence de genre : sortir les femmes de l’invisibilité

Un SDF sur 3 est une femme. On les voit peu parce qu’elles développent des stratégies spécifiques de protection, tant leur situation est préoccupante par rapport à celle des hommes sans-abri. Le service provincial VEGHA (Violence, Egalité de Genres en Hainaut), organise tous les quadrimestres des plates-formes thématiques à destination des opérateurs* de terrain, des séances d’information et de partage d’expériences qui se déroulent à Tournai, Mons et Charleroi. Et, en ce début d’automne, la thématique était un peu particulière : les liens entre le sans-abrisme et les violences faites aux femmes.

« En 2004, le sans-abrisme féminin était considéré comme marginal, car les femmes étaient « hébergées » – ce qui invisibilisait leur situation » explique Jérémy Wilmot du Relais social de Charleroi.

Les sans-abris, ce ne sont pas que ceux qui vivent dans la rue. Ce sont aussi des personnes qui vivent des situations d’hébergement précaires : en hébergement d’urgence, en foyer d’hébergement, chez des tiers (amis ou membres de la famille), etc. Le phénomène est donc plus vaste que ce que l’on en voit quotidiennement.

Et quand il s’agit de femmes, c’est encore plus compliqué. Ainsi, celles qui se retrouvent « à la rue » le deviennent suite à des violences conjugales, familiales et des violences sexuelles (36%), des pertes d’emploi ou une précarité économique (27%) qui se conjuguent souvent. Et quand elles sont sans-abri, elles sont souvent victimes d’autres violences, ce qui les amène à développer des stratégies de survie et une invisibilité forcée.

« Les femmes sans-abri cherchent souvent à se rendre invisibles pour se protéger » explique Véronique Barbieri du Relais social de La Louvière : « Elles préfèrent souvent dormir chez des amis, ou des connaissances plutôt que de passer la nuit dans un centre d’hébergement mixte. Pour certaines, la prostitution peut sembler le seul moyen d’obtenir de l’argent pour un repas ou une nuit d’hébergement.

Parfois, elles évitent d’avoir l’apparence « typique » d’une personne sans-abri pour éviter le danger. » Elle précise d’autre risques les touchant particulièrement : « L’accès aux produits d’hygiène de base (serviettes hygiéniques, etc.) est un défi constant. Les grossesses et les maternités à la rue posent également des risques majeurs pour la mère et l’enfant. (Par ailleurs) les traumatismes subis, l’isolement et la précarité entraînent une dégradation de la santé mentale et le développement de troubles psychologiques et mentaux qui peuvent être liés à des addictions à l’alcool ou aux drogues. »

« La violence reste en filigrane, même en maisons d’accueil, car elles sont souvent mixtes » commente Jérémy Wilmot : « C’est ce qui explique en partie toutes ces stratégies qu’elles mettent en place. »

Au 26, une maison d’accueil, d’hébergement et d’accompagnement des femmes et de leurs enfants de Charleroi, on est en pleine réflexion sur la problématique. Pour Lavignie Lovo : « Il y a des personnes qui deviennent sans-abri suite à des violences conjugales. Ce sont parfois des personnes qui étaient propriétaires et qui se retrouvent sans rien. »
Pour lutter contre l’insécurité, poursuit-elle, « il est temps qu’il y ait des lieux distincts » qui seraient plus sécurisants, comme le souligne l’étude « La rue et le genre… » menée par l’association Action vivre ensemble – ce qui ne signifie pas supprimer tous les lieux d’activités mixtes.

On le voit, le sujet est complexe. C’est pourquoi les opérateurs plaident pour un accompagnement spécifique qui prenne en compte le parcours de vie de ces femmes, notamment les traumatismes liés aux violences subies, ce qui nécessite de travailler en réseau avec d’autres opérateurs ; pour un renforcement de l’accès aux soins, notamment gynécologiques ; et pour sensibiliser le public et les professionnels aux réalités pour mieux identifier et aider ces femmes.

Ces réunions de plate-formes permettent ainsi d’aborder ce type de thématiques et de travailler ensemble à la conception de solutions collectives qui pourraient s’intégrer à toutes les réalités professionnelles de ces différents acteurs de réseau.

* Environ 70 participants se sont réunis durant ces séances de travail qui avaient lieu à Charleroi, Mons et Tournai : des travailleurs issus de différents organismes tels que les CPAS, Centres Psycho-Médico-Sociaux, Présence et Action Culturelle, plannings familiaux, services d’Aide à la Jeunesse, services VIF (violences intrafamiliales), maisons d’accueil, services d’aide aux victimes, maisons médicales, services d’assistance policière aux victimes, Plan de Cohésion Sociale, Centre de Prévention des Violences Sexuelles, service d’aide aux justiciables, Parquet de Justice, Refuges,…

Souper aux moules à l’IMP René Thône de Marcinelle

Souper aux moules à l’IMP René Thône de Marcinelle

Souper aux moules à l’IMP René Thône de Marcinelle

L’Institut Médico-Pédagogique René Thône de Marcinelle a le plaisir de vous inviter à son traditionnel souper aux moules, suivi d’une soirée dansante, le vendredi 14 novembre 2025 à partir de 19h.

Une ambiance conviviale et festive vous attend autour d’un bon repas partagé en toute simplicité. Deux formules sont proposées :
– Moules/frites avec apéritif : 20€ pour les adultes et 12€ pour les enfants
– Boulettes sauce tomate/frites : 15€ pour les adultes et 12€ pour les enfants

Les réservations sont ouvertes jusqu’au 5 novembre. Il vous suffit de contacter le 071 44 64 64 et de remettre le talon de réservation disponible sur l’affiche.

Venez nombreux pour partager ce moment chaleureux et soutenir l’école dans une atmosphère familiale et joyeuse.