Le Service Provincial de Santé Mentale de Charleroi recherche un.e assistant.e social.e (jusqu’au 31/01/2025).

Contrat de Remplacement (7h36/semaine) : assistant.e social.e

Les missions générales de l’assistant.e social.e au sein de l’équipe du service de Santé Mentale sont :

• Assurer les anamnèses sociales et familiales ainsi que les démarches nécessaires (sociales et administratives);
• Assurer certains accompagnements (individuels ou familiaux) décidés en réunion d’équipe ;
• Partager les informations, informer des suivis et soutenir un travail de réflexion avec les autres membres de l’équipe pluridisciplinaire ;
• Participer aux réunions d’équipe hebdomadaires ;
• Participer aux éventuelles activités du réseau ;
• Accueillir, informer, renseigner, orienter les personnes.

Les compétences personnelles suivantes sont attendues :

• Veiller à la gestion et la tenue administrative de ses dossiers et établir les rapports de synthèse ou les courriers nécessaires ;
• Capacité à travailler dans le respect de la pluridisciplinarité et en concertation pluridisciplinaire ;
• Travailler dans le respect de la déontologie du service, et veiller au devoir de réserve et au respect de la confidentialité ;
• Connaissance de l’institution provinciale et du réseau ;
• Capacités organisationnelle et gestion de son horaire, de l’agenda centralisé, et des demandes téléphoniques ;
• Gestion des recettes des consultations ;
• Mise à jour des fiches statistiques.

Une expérience dans le secteur de la santé mentale est souhaitée.

Les candidatures doivent être adressées par mail à Madame ALEXANDRE Maud, directrice administrative, à l’adresse suivante : maud.alexandre@hainaut.be.

 Dépôt des candidatures (CV et lettre de motivation) jusqu’au 18/08/2023.

Stéphanie Stempin est assistante sociale et agente provinciale depuis 2001. Après avoir travaillé dans la région de Tournai pendant 20 ans, que ce soit au CPMS, au Service de Santé Mentale ou au Service Résidentiel Général « les Tourelles », elle travaille désormais au Service de Santé mentale de Mouscron, depuis 2021.

Et au-delà de son travail à temps plein, Stéphanie a une première grande passion : la lecture. « C’est une transmission familiale qui me vient de mes grands-parents, de mes parents, … J’adore tout autant les BD que les romans historiques, d’aventure ou les thrillers ! J’ai des goûts très éclectiques en littérature » explique-t-elle.

Mais elle a aussi une seconde passion :

« Je suis reconstitutrice médiévale et spécialisée dans l’époque viking. Je réalise des costumes que je couds moi-même et je participe à des rassemblements de passionnés ».

Grande fan de Trolls et légendes à Mons, elle est aussi une grande admiratrice d’illustratrices de fantasy comme Anne Stokes, Sandrine Gestin, Krystal Camprubi, …

Elle a même eu la chance d’obtenir les dédicaces de John Howe et de Alan Lee… Des maîtres en leur matière ! Et toutes ces passions l’ont menée à vivre une belle aventure, en 2021.

Elle a en effet passé le cap de réaliser son rêve d’adolescente : écrire son propre roman.

« J’aime beaucoup les romans fantastiques. J’en ai lu énormément. Et une nuit, j’ai fait un rêve …. et au réveil, les mots se sont alignés dans mon esprit et ça s’est écoulé naturellement. J’avais une histoire ! ».

Mêlant les thèmes de la réincarnation, de l’amour mais aussi de l’existence d’êtres surnaturels comme les vampires, les loups garous, les sorciers, ou encore les elfes, cette histoire est aussi un chemin initiatique : « C’est l’histoire d’une jeune femme qui s’est réincarnée. Elle arrive en vacances dans un petit village et y retrouve un homme dont elle était amoureuse 2 siècles auparavant. Il s’avère que cet homme est un vampire… » détaille-t-elle.

« Et alors qu’elle pensait passer des vacances tranquilles, un grand malheur menace le monde et malgré leurs inimitiés, tous ces êtres fabuleux vont devoir s’allier pour sauver le monde. Et l’héroïne va devoir replonger dans son histoire… ». 

La Prophétie de Whinnlao était née !

Une fois le livre terminé, Stéphanie décide de tenter sa chance et de faire éditer son roman « Je n’y connaissais rien en édition et en tant que débutant, il me fallait 4000 € pour faire éditer… C’était impossible ! » se souvient-elle. 

« Le financement participatif n’était pas possible non plus car je n’avais rien à offrir en contrepartie alors, je suis passée par la plateforme Amazon en auto-édition. Le bouche-à-oreille m’a menée vers un graphiste et le dessin a été réalisé avec beaucoup de talent par une amie. J’en suis vraiment très contente ! »

Alors que ce premier roman trace son petit bout de chemin sur la toile, une suite est déjà en préparation : « Le deuxième roman est en cours d’écriture et j’ai encore d’autres histoires en tête ». Une autrice à suivre donc et à découvrir, pourquoi pas, durant les vacances d’été !